… c’est quand même autrement mieux tourné que
« endetter ses enfants et petits-enfants »,
ou « parasitisme transgénérationnel ».
Ces derniers temps, elles ont plus de mal à trouver preneurs que d’habitude.
aussi : http://www.lesechos.fr/info/inter/300321416.htm
inutile de préciser que nous ne sommes guère mieux lotis.
Saurons nous nous arrêter de nous-mêmes ?
Un jour nos prêteurs débrancheront bien la perfusion (même s’ils n’ont pas plus envie que nous)
… ce jour là sera dur.